François, le patron du Borsalino, avait revêtu un costume d’époque lors de l’événement « Il était une fois Aubagne en 1895« .
Qui peut dire si c’est parce qu’il était aussi élégant que la daube provençale de la patronne était si « divinement succulente » (tel qu’affirmé par l’un de nos clients) ?
En tout cas, un sondage officieux à la sortie des tables indiquait clairement qu’une écrasante majorité des interrogés était favorable à ce qu’il s’habille ainsi tous les jours. Chiche !
… mais qui réussira à l’en convaincre ?